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La malédiction des Barbarant

 Éditions Lucien Souny, 2002

 

  Été comme hiver, qu’il vente ou qu’il neige, Antoine Barbarant promène sa silhouette silencieuse dans les forêts proches de Chantemille. En ce début des années 1950, cela fait maintenant plus de soixante-dix ans que dure ce manège.

 Quel secret cherche-t-il à percer ? Ni Angèle, sa sœur auprès de qui il vit, ni Émilia, la fille de cette dernière, qui s’enfonce jour après jour dans la folie, ne le savent. Et quelle malédiction, planant depuis des générations sur les Barbarant, a-t-elle permis que Maxime, son propre fils, soit emporté par la mort à l’âge de dix ans ?

 Enfin, que s’est-il passé sur le chemin du bois des Rochers ? Qui a dénoncé Louis, le frère d’Émilia, parti ce jour-là ravitailler les maquisards ? Antoine aimerait bien le découvrir. Mais la « malédiction » lui en laissera-t-elle le temps ?

 

Revue de presse:

 

 “Très attiré par l’histoire locale, la nature, l’environnement, Michel Blondonnet s’y jette avec une immense gourmandise.

La plume précise et riche en observations couchées sur le papier, cet ancien professeur de sciences physiques ne dissimule pas son amour pour sa région. Toujours installé dans la Combraille creusoise, il dissèque remarquablement des tranches de vie du Limousin et de l’Auvergne avec une profonde affection.

Déjà auteur de deux romans — Le meunier de Lavault et À l’ombre de La Seiglière, ainsi que de trois tomes de La Creuse oubliée, ce Creusois accroché à ses racines signe là un roman que les amateurs apprécieront.

Lucien Souny, son éditeur, estime que La malédiction des Barbarant « échappe au seul cadre géographique de ces terroirs pour devenir, par sa trame et ses personnages, un roman plus universel, à la façon de ceux de Maurice Genevoix ou d’Henri Bosco »”.

Gilles Deville, Le Populaire du Centre

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 La malédiction des Barbarant est une histoire noire qui n’est pas sans rappeler celles qui, jadis, tenaient l’auditoire en haleine dans les veillées au coin de l’âtre. Car Michel Blondonnet est un sacré conteur, donnant vie à des personnages aux caractères bien trempés, dont la force cache en fait les faiblesses…

Le roman reflète chez l’auteur une grande connaissance du milieu paysan et de sa psychologie, ainsi qu’un amour certain de la nature et de la terre.”

Paul Colmar, La Montagne

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 “Vous savourerez ce livre du début à la fin. On ne peut s’empêcher de s’attacher à cette famille fragilisée par la vie. Une très belle écriture …”

Pays du Limousin